• Objectif: Contrôler le risque infectieux via nettoyants probiotiques (Bacillus) en EMS/SSR, comparaison vs biocides. 
• Méthode: 12 mois (06.2022–06.2023) ; prélèvements mensuels sur surfaces & siphons (3 036 boîtes) ; produits PROBIOWAY (0,5 % / sprays)

Partenaires : Université de Ferrare (équipe Pr. Caselli) ; hôpitaux de Feltre, Tolmezzo, Vigevano, Rome, Foggia, Messina ; Hôpital Burlo Garofolo – Urgences pédiatriques (Trieste). 

Période et périmètre : 2016–2022 (séries Caselli) ; 2018–2019 (multicentrique) ; 2022 (Soffritti, d’Accolti). 

Objectif: Mesurer l’impact du PCHS sur la charge pathogène des surfaces, le résistome (ARG), les IAS et la consommation d’antibiotiques ; valider l’usage en contexte COVID (urgences pédiatriques). 

Méthodologie : Mise en routine du PCHS sur surfaces hautes/sols, prélèvements réguliers et analyses microbiologiques (pathogènes, ARG), suivi des IAS et des consommations pharmaceutiques, comparaison avant/après biocides (multicentrique) et en contexte COVID.

Objectif : Démontrer l’efficacité préventive du Probioway contre une sélection de pathogènes sur surfaces et siphons dans des sanitaires. 

Évaluer la prévention de la recolonisation des surfaces à long terme. 

Méthodologie :

Mise en routine PCHS sur surfaces hautes/sols (sites traités) vs sites contrôles. 

Plan d’échantillonnage sériel (n=384) avec analyses microbiologiques selon milieux sélectifs. 

Indicateurs suivis et critères d’acceptation définis par EPFL ; protocole harmonisé HTS Bio. 

Objectif : Démontrer l’efficacité préventive du PCHS contre une sélection de pathogènes sur surfaces. 

Évaluer la prévention de la recolonisation des surfaces à long terme. 

Méthodologie :

Mise en routine PCHS sur surfaces hautes/sols (sites traités) vs sites contrôles. 

Plan d’échantillonnage sériel (n=384) avec analyses microbiologiques selon milieux sélectifs. 

Indicateurs suivis et critères d’acceptation définis par EPFL ; protocole harmonisé HTS Bio. 

Objectif : Comparer 2 techniques d’entretien des surfaces hautes :

S1 = détergent-désinfectant (biocide) → S2 = détergent probiotique ; mesurer contamination des surfaces, IAS et BMR. 

Méthodologie :

Plan semestriel avant/après (biocide → probiotique).

Prélèvements de surfaces : flore totale ; flore « pathogène » (Staphylococcus spp., Pseudomonas spp., Acinetobacter spp., Entérobactéries, Aspergillus) ; flore probiotique (Bacillus subtilis, B. pumilus…).

Surveillance continue des IAS (définition ENP 2022) et BMR via données labo.

Avis des utilisateurs et suivi coûts.

Etudes Allemandes à l'Hôpital Charité - Universitätsmedizin (Berlin-DE) - service de neurologie. 

Objectif: L’étude Leistner & Klassert (2021–2022) avait pour objectif d’évaluer l’efficacité du nettoyage probiotique dans les hôpitaux allemands sur la réduction des bactéries pathogènes multirésistantes (BMR) sur les surfaces fréquemment touchées.

Méthodologie : elle reposait sur une comparaison directe entre le nettoyage chimique classique et le nettoyage probiotique sur plusieurs semaines, avec prélèvements microbiologiques réguliers.

Les résultats ont montré une diminution significative et durable des BMR (dont Staphylococcus aureus et Enterococcus faecium), ainsi qu’une meilleure stabilité microbienne des surfaces traitées par probiotiques.

Résultats : 

- 90%  de biomasse intrinsèque bactérienne dans les éviers

 -75 %  des ARGs dans les éviers

- Augmentation significative de la diversité bactérienne (indice de Shannon) sur les surfaces 

- Aucune augmentation des pathogènes sur les surfaces traitées 

- Diminution des genres résistant tels que Pseudomonas et Staphylococcus

Etudes Allemandes à l'Hôpital Charité - Universitätsmedizin (Berlin-DE) - service de neurologie. 

Objectif: L’étude Leistner & Klassert (2021–2022) avait pour objectif d’évaluer l’efficacité du nettoyage probiotique dans les hôpitaux allemands sur la réduction des bactéries pathogènes multirésistantes (BMR) sur les surfaces fréquemment touchées.

Méthodologie : elle reposait sur une comparaison directe entre le nettoyage chimique classique et le nettoyage probiotique sur plusieurs semaines, avec prélèvements microbiologiques réguliers.

Les résultats ont montré une diminution significative et durable des BMR (dont Staphylococcus aureus et Enterococcus faecium), ainsi qu’une meilleure stabilité microbienne des surfaces traitées par probiotiques.

Résultats : 

- 90%  de biomasse intrinsèque bactérienne dans les éviers

 -75 %  des ARGs dans les éviers

- Augmentation significative de la diversité bactérienne (indice de Shannon) sur les surfaces 

- Aucune augmentation des pathogènes sur les surfaces traitées 

- Diminution des genres résistant tels que Pseudomonas et Staphylococcus

Traduction du paragraphe 6 sur l'utilisation des produits probiotiques